[rapport de mission 2] De l'Amour à l'horreur
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[rapport de mission 2] De l'Amour à l'horreur
Something strange in your neighborhood. Who you gonna call ? Les petits Chevaliers à la croix de fer de l'Aube de la seconde Chance qui tue
Tiluuuu Tiluuu Tiluuu Tiluuuu Tiluuu Tiluuu Tiluuuu Tiluuu Tiluuu Tiluuuu Tiluuu Tiluuu
Oh, mais c'est quoi ce bordel ? Ah tiens, le boitier d'appel d'urgence du Knight.
Rohh, mais qu'est-ce qu'ils ont encore fait ? On peut même pas boire tranquillement.
Me tournant vers Tony qui s'adonnait avec moi au plaisir de l'inflammation des papilles et de l'arrière de la gorge, nous nous en allons vers le Knight qui nous siffle, non sans prendre une bonne bouteille avant de partir.
- Les urgences, c'est toujours long, dis-je avec un sourire pour me justifier auprès du fan de tuning.
Arrivé en salle de réunion, Lancelot nous accueille l'air mauvais. Manifestement notre empressement n'a pas été assez célère et ma bouteille à la main n'a pas l'air de beaucoup lui plaire. Mais bon d'un autre côté, s'il fait appelle à notre coterie, c'est qu'il ne doit pas avoir grand monde d'autre sous la main. Lancelot se lance :
- Bon, on a une urgence. Un de nos feu follet a envoyé un signal de détresse. Pour l'instant on n’a pas plus d'info. Donc vous y allez, vous les aidez au besoin et vous me faites un rapport au plus tôt. Compris ? Des questions ?
- Ouais, elle est où Chaton méchant ? demande Gontran
- Qui ?
- Ah oui, Triple...
- Indisposée. Partez sans elle. D'autres questions plus pertinentes ? Si oui, vous verrez dans le vector. Il vous attend pour décoller. Allez, bougez-moi vos nano-particules !
Vu son regard, nous nous exécutons (enfin on y va quoi, on ne se tire pas dessus) et à peine arrivé dans le vector, que voici que celui-ci s'élève déjà dans les airs, faisant rugir ses moteurs dans le but manifeste de battre un record de vitesse.
Après avoir salué les pilotes, et montrer notre déception à ne pas retrouver Clothilde (notre Über de service), nous essayons d'en savoir plus sur notre mission.
La récolte est maigre : on en sait rien, on doit juste vous poser par là (point B sur la carte) avant de repartir faire le plein à Bordeaux (point C sur la carte).
On a quand même décroché des sourires aux pilotes quand ils nous ont confirmé qu'ils avaient autorisation de vider le réservoir du vector... et que c'était même encouragé.
Au moins y en a 2 qui prendront leur pied pendant le trajet.
Pendant ce temps-là nous récoltons quelques infos sur le lieu qu'on doit inspecter pour vérifier les besoins de notre contact.
Nous avons beau demander à John Doe de faire un scan du coin pour savoir à quoi nous en tenir, pas moyen qu'il use ses précieux points d'énergie pour ça. Damned. On y va à l'aveugle. Et ça m'énerve parce que les autres s'en foutent sûrement, mais moi, je les connais les gens du cru, enfin certain. Enfin possiblement. Bref, c'est de par là que je viens.
...
Ojectif en vue. Paré à la descente... Pfiou ça fume...
It's an emergency announcement
Résumé de mission de Gontran de MaupertuisTiluuuu Tiluuu Tiluuu Tiluuuu Tiluuu Tiluuu Tiluuuu Tiluuu Tiluuu Tiluuuu Tiluuu Tiluuu
Oh, mais c'est quoi ce bordel ? Ah tiens, le boitier d'appel d'urgence du Knight.
Rohh, mais qu'est-ce qu'ils ont encore fait ? On peut même pas boire tranquillement.
Me tournant vers Tony qui s'adonnait avec moi au plaisir de l'inflammation des papilles et de l'arrière de la gorge, nous nous en allons vers le Knight qui nous siffle, non sans prendre une bonne bouteille avant de partir.
- Les urgences, c'est toujours long, dis-je avec un sourire pour me justifier auprès du fan de tuning.
Arrivé en salle de réunion, Lancelot nous accueille l'air mauvais. Manifestement notre empressement n'a pas été assez célère et ma bouteille à la main n'a pas l'air de beaucoup lui plaire. Mais bon d'un autre côté, s'il fait appelle à notre coterie, c'est qu'il ne doit pas avoir grand monde d'autre sous la main. Lancelot se lance :
- Bon, on a une urgence. Un de nos feu follet a envoyé un signal de détresse. Pour l'instant on n’a pas plus d'info. Donc vous y allez, vous les aidez au besoin et vous me faites un rapport au plus tôt. Compris ? Des questions ?
- Ouais, elle est où Chaton méchant ? demande Gontran
- Qui ?
- Ah oui, Triple...
- Indisposée. Partez sans elle. D'autres questions plus pertinentes ? Si oui, vous verrez dans le vector. Il vous attend pour décoller. Allez, bougez-moi vos nano-particules !
Vu son regard, nous nous exécutons (enfin on y va quoi, on ne se tire pas dessus) et à peine arrivé dans le vector, que voici que celui-ci s'élève déjà dans les airs, faisant rugir ses moteurs dans le but manifeste de battre un record de vitesse.
Après avoir salué les pilotes, et montrer notre déception à ne pas retrouver Clothilde (notre Über de service), nous essayons d'en savoir plus sur notre mission.
La récolte est maigre : on en sait rien, on doit juste vous poser par là (point B sur la carte) avant de repartir faire le plein à Bordeaux (point C sur la carte).
On a quand même décroché des sourires aux pilotes quand ils nous ont confirmé qu'ils avaient autorisation de vider le réservoir du vector... et que c'était même encouragé.
Au moins y en a 2 qui prendront leur pied pendant le trajet.
Pendant ce temps-là nous récoltons quelques infos sur le lieu qu'on doit inspecter pour vérifier les besoins de notre contact.
Nous avons beau demander à John Doe de faire un scan du coin pour savoir à quoi nous en tenir, pas moyen qu'il use ses précieux points d'énergie pour ça. Damned. On y va à l'aveugle. Et ça m'énerve parce que les autres s'en foutent sûrement, mais moi, je les connais les gens du cru, enfin certain. Enfin possiblement. Bref, c'est de par là que je viens.
...
Ojectif en vue. Paré à la descente... Pfiou ça fume...
Dernière édition par Thrr-Gilag le Lun 13 Jan 2020 - 13:59, édité 2 fois
Hosanna, Hosanna ! Et en route pour la joie !
Largage effectué.
On est comme des cons, sur une grande place, de l'autre côté de l'objectif.
La coterie se regarde, échanges tactiques entre les différents chevaliers puis... tout le monde fait comme il en a envie. Putain de stratèges cette coterie.
Au final la stratégie adoptée a été : les plus rapides s'engagent et les moins rapides suivent.
Les plus rapides s'engagent donc... sans subir les foudres d'adversaires potentiellement cachés, tandis que les moins rapides rejoignent les points qu'ils désirent, plus sereinement.
Jonction faite avec l'objectif, les portes sont fracassées, les murs au 1er étage laissent voir des trous.
Ni une ni deux, l'exploration commence : en bas Tony et Red s'avancent dans le bas de cette église (anciennement) fumante (récent) tandis que John Doe grimpe silencieusement le long de la paroi et que je saute sans la moindre once de discrétion en direction du 1er étage.
L'état des lieux est fait : de nombreux corps de rebuts sont identifiés armes à la main pour certains, s'agissant principalement d'hommes.
Les attaquants ont manifestement fait état d'une sauvagerie intense vidant allègrement leurs balles, plus que de raison dans les corps des victimes. L'usage de grenade ou d'explosif est avéré.
Pour une attaque de ce qui est présumé être des faunes, c'est un poil curieux trouve-t-on. Ainsi, pendant que Tony et moi continuons l'exploration de l'église, chacun à notre niveau, à la recherche de quelque chose de vivant dans tout ce merdier, Red sortprendre l'air, euh avoir une meilleure liaison pour faire un rapport préliminaire au chevalier de la charrette et John part faire un roupillon le guet, mais toujours sans utiliser les satellites qu'il pourrait mettre à disposition - vu qu'il y a plus de danger manifestement.
La nef de l'église accueillait les installations de travail : algeco sur 3 hauteurs contenant des pièces pour se nourrir, s'habiller, etc.
Beaucoup de cadavre, pas de survivants. Toujours principalement des hommes.
La fouille ne donne rien de bien palpitant.
Rejoints par Red, nous entamons l'entrée vers le transept et son prolongement.
Là, la scène change. Nous sommes face à ce qui s'est passé dans mon village. Des morts. Plus éviscérés que plombés. Manifestement l'assaillant à court de munitions est passé à l'arme blanche... Toujours est-il que la chair s'est faite trancher, massacrer, violenter...
Toujours peu de femmes et enfants. Manifestement, le raid est venu s'approvisionner en "matière première".
Ici, rien qui ne bouge. Aucun corps d'ennemis découverts.
Devant ce charnier, Red se met à chanter, cherchant à rassurer les éventuelles victimes qui se terrent. Il faut bien dire que notre coterie en armure défoldée ne doit pas inspirer le plus grand des apaisements à la craintes de se faire de nouveau tailler en pièces.
Mais le chant doux de Red fait son office, et 6 survivants sortent d'ici. Rapidement, nous offrons un nod de santé par personne pour les "requinquer" en attendant que n'arrive le Über pour les ramener.
Une petite fille, Rosanna, nous raconte difficilement ce qui s'est passé.
Un raid, un enlèvement, un acharnement.
En attendant l'Uber, Red fait son rapport à Lancelot et je réunis le maximum de corps pour leur offrir un dernier rite de passage. Mais je n'ai pas le temps de finir mon office que déjà le raptor arrive et que les flammes couvant se raniment et commencent à enflammer le chœur de l'église.
Pendant le trajet de retour, John, aidé par chacun d'entre nous, cherche à identifier la provenance de ces raids.
Une zone de 20 km² est déterminée comme la zone probable de localisation de l'origine du raid et un des sites nous semble particulièrement interessant dans cette zone. Nous sautons en cours de route pour aller vérifier notre déduction.
Je ne sais plus trop quels sont nos ordres, mais fort est à parier qu'on va balancer du pruneau de compét' prochainement.
On est comme des cons, sur une grande place, de l'autre côté de l'objectif.
La coterie se regarde, échanges tactiques entre les différents chevaliers puis... tout le monde fait comme il en a envie. Putain de stratèges cette coterie.
Au final la stratégie adoptée a été : les plus rapides s'engagent et les moins rapides suivent.
Les plus rapides s'engagent donc... sans subir les foudres d'adversaires potentiellement cachés, tandis que les moins rapides rejoignent les points qu'ils désirent, plus sereinement.
Jonction faite avec l'objectif, les portes sont fracassées, les murs au 1er étage laissent voir des trous.
Ni une ni deux, l'exploration commence : en bas Tony et Red s'avancent dans le bas de cette église (anciennement) fumante (récent) tandis que John Doe grimpe silencieusement le long de la paroi et que je saute sans la moindre once de discrétion en direction du 1er étage.
L'état des lieux est fait : de nombreux corps de rebuts sont identifiés armes à la main pour certains, s'agissant principalement d'hommes.
Les attaquants ont manifestement fait état d'une sauvagerie intense vidant allègrement leurs balles, plus que de raison dans les corps des victimes. L'usage de grenade ou d'explosif est avéré.
Pour une attaque de ce qui est présumé être des faunes, c'est un poil curieux trouve-t-on. Ainsi, pendant que Tony et moi continuons l'exploration de l'église, chacun à notre niveau, à la recherche de quelque chose de vivant dans tout ce merdier, Red sort
La nef de l'église accueillait les installations de travail : algeco sur 3 hauteurs contenant des pièces pour se nourrir, s'habiller, etc.
Beaucoup de cadavre, pas de survivants. Toujours principalement des hommes.
La fouille ne donne rien de bien palpitant.
Rejoints par Red, nous entamons l'entrée vers le transept et son prolongement.
Là, la scène change. Nous sommes face à ce qui s'est passé dans mon village. Des morts. Plus éviscérés que plombés. Manifestement l'assaillant à court de munitions est passé à l'arme blanche... Toujours est-il que la chair s'est faite trancher, massacrer, violenter...
Toujours peu de femmes et enfants. Manifestement, le raid est venu s'approvisionner en "matière première".
Ici, rien qui ne bouge. Aucun corps d'ennemis découverts.
Devant ce charnier, Red se met à chanter, cherchant à rassurer les éventuelles victimes qui se terrent. Il faut bien dire que notre coterie en armure défoldée ne doit pas inspirer le plus grand des apaisements à la craintes de se faire de nouveau tailler en pièces.
Mais le chant doux de Red fait son office, et 6 survivants sortent d'ici. Rapidement, nous offrons un nod de santé par personne pour les "requinquer" en attendant que n'arrive le Über pour les ramener.
Une petite fille, Rosanna, nous raconte difficilement ce qui s'est passé.
Un raid, un enlèvement, un acharnement.
En attendant l'Uber, Red fait son rapport à Lancelot et je réunis le maximum de corps pour leur offrir un dernier rite de passage. Mais je n'ai pas le temps de finir mon office que déjà le raptor arrive et que les flammes couvant se raniment et commencent à enflammer le chœur de l'église.
Pendant le trajet de retour, John, aidé par chacun d'entre nous, cherche à identifier la provenance de ces raids.
Une zone de 20 km² est déterminée comme la zone probable de localisation de l'origine du raid et un des sites nous semble particulièrement interessant dans cette zone. Nous sautons en cours de route pour aller vérifier notre déduction.
Je ne sais plus trop quels sont nos ordres, mais fort est à parier qu'on va balancer du pruneau de compét' prochainement.
Dernière édition par Thrr-Gilag le Lun 16 Déc 2019 - 16:28, édité 1 fois
Du renfort et des amphores
Chemin faisant, nous tombons sur une troupe qui semble se diriger vers notre lieu de prédilection.
Nous prenons nos dispositions pour les intercepter et leur parler.
Après les premières présentations, nous faisons connaissance d'une patrouille de la milice de Bordeaux. Ce qui tombe bien, puisque j'y ai mon beau-frère qui y travaille - et qui s'avère être celui qui donne des ordres dans le coin.
Nous taillons donc une bavette, parlant du bon vieux temps et des temps nouveaux, ce qui nous amène à parler de la recrudescence d'attaque de "bestians", toutes dans le secteur et menant à peu près aux mêmes conclusions que nous quant à leurs origines.
Nous laissons ces bons français, avec nos coordonnées d'appel pour qu'ils nous signalent s'ils tombent sur la troupe qui nous intéresse, avec "ordre" de rester à couvert dans ce cas en attendant la piétaille (nous quoi, car on a beau être chevaliers, on n’a pas de cheval, du coup, on est des piétalliers).
Charge à eux de nous soutenir en cas d'arriver de bestians histoire qu'on ne se fasse pas prendre en étaux.
To be continued... (mais quand on aura fait la partie).
Nous prenons nos dispositions pour les intercepter et leur parler.
Après les premières présentations, nous faisons connaissance d'une patrouille de la milice de Bordeaux. Ce qui tombe bien, puisque j'y ai mon beau-frère qui y travaille - et qui s'avère être celui qui donne des ordres dans le coin.
Nous taillons donc une bavette, parlant du bon vieux temps et des temps nouveaux, ce qui nous amène à parler de la recrudescence d'attaque de "bestians", toutes dans le secteur et menant à peu près aux mêmes conclusions que nous quant à leurs origines.
Nous laissons ces bons français, avec nos coordonnées d'appel pour qu'ils nous signalent s'ils tombent sur la troupe qui nous intéresse, avec "ordre" de rester à couvert dans ce cas en attendant la piétaille (nous quoi, car on a beau être chevaliers, on n’a pas de cheval, du coup, on est des piétalliers).
Charge à eux de nous soutenir en cas d'arriver de bestians histoire qu'on ne se fasse pas prendre en étaux.
To be continued... (mais quand on aura fait la partie).
Re: [rapport de mission 2] De l'Amour à l'horreur
Rapport de vos écuyers sur leur mission en France (Bordeaux)
Les attaques étaient perpétrées par une compagnie d'ex-Eurocorps tombés dans le désespoir et commanditées par un de leur ancien supérieur à Bordeaux : Maurice Libencourt
Ce dernier essayait de guérir sa femme, isolée dans un sarcophage, sur les conseil d'un scientifique passé du côté des ténèbres : Karl Von Luberknotz
Notre enquête a démarré dans le bordelais autour de la ville de Bergerac et nous a confronté à des créatures locales de la bêtes ainsi qu'à une partie des troupes des assaillants restée en arrière base. Les informations que nous avons obtenues indiquaient que des femmes avaient étaient kidnappées et conduites à l'arche de Bordeaux par véhicule "autorisé". Nous sommes donc directement partis à Bordeaux dès les combats terminés.
Là-bas nous avons contacté la milice locale tout en conservant l'urgence de la situation et repéré le bâtiment où les victimes avaient étaient séquestrées.
Nous avons neutralisé les sentinelles, désamorcé les pièges pour enfin arriver au sous-sol près des victimes.
Malheureusement, une créature du Masque était là, avec une nuée de créatures et des ex-membres Eurocorps.
Certains d'entre nous se sont sacrifié pour que l'on ait assez de temps pour sauver deux femmes et battre en retraite.
J'ai utilisé mon armement automatisé au sous-sol, derrière moi, pour faire exploser le générateur alpha lorsque nous fûmes tous saufs à l'extérieur du bâtiment.
Ce dernier et la manifestation du Masque à l'intérieur de l'arche de Bordeaux, dont nous avons perçu la désintégration, ont été détruits.
Les attaques étaient perpétrées par une compagnie d'ex-Eurocorps tombés dans le désespoir et commanditées par un de leur ancien supérieur à Bordeaux : Maurice Libencourt
Ce dernier essayait de guérir sa femme, isolée dans un sarcophage, sur les conseil d'un scientifique passé du côté des ténèbres : Karl Von Luberknotz
Notre enquête a démarré dans le bordelais autour de la ville de Bergerac et nous a confronté à des créatures locales de la bêtes ainsi qu'à une partie des troupes des assaillants restée en arrière base. Les informations que nous avons obtenues indiquaient que des femmes avaient étaient kidnappées et conduites à l'arche de Bordeaux par véhicule "autorisé". Nous sommes donc directement partis à Bordeaux dès les combats terminés.
Là-bas nous avons contacté la milice locale tout en conservant l'urgence de la situation et repéré le bâtiment où les victimes avaient étaient séquestrées.
Nous avons neutralisé les sentinelles, désamorcé les pièges pour enfin arriver au sous-sol près des victimes.
Malheureusement, une créature du Masque était là, avec une nuée de créatures et des ex-membres Eurocorps.
Certains d'entre nous se sont sacrifié pour que l'on ait assez de temps pour sauver deux femmes et battre en retraite.
J'ai utilisé mon armement automatisé au sous-sol, derrière moi, pour faire exploser le générateur alpha lorsque nous fûmes tous saufs à l'extérieur du bâtiment.
Ce dernier et la manifestation du Masque à l'intérieur de l'arche de Bordeaux, dont nous avons perçu la désintégration, ont été détruits.
Ghislain- Demogorgon, Prince des démons, - Président
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